Ayant toujours cru à la possibilité d’un monde moins divisé, l’auteur décide de partir à la recherche de ce sens de la vie que nous avons souvent perdu. Apprendre à discerner et s’imprégner des actes créateurs, telle devient sa quête.
Ainsi, il se lance dans ce qu’il a appelé une expédition sociale. Il sait que c’est parfois dans des situations de survie que se cachent les plus grands enseignements, aussi il les provoque.
Complice des animaux et de la forêt dès son plus jeune âge, ils seront ses partenaires de voyage. Parfois, il prendra conseil auprès de ses compagnons humains chez qui il ressent les mêmes interrogations.
Il souhaite, à travers cet écrit transmettre ses expériences au plus grand nombre et trouver, avec le lecteur, le moyen d’appliquer ces apprentissages de la Terre dans notre vie quotidienne.
Vous découvrirez ainsi qu’en fouillant dans notre histoire, dans nos mémoires se révèlent en nous des qualités que nous ne pouvions soupçonner. Retrouver la Terre, son écoute, c’est comme retrouver une famille loyale et sincère qui, vous laissant toute votre liberté d’expression, ne cherchera nullement à vous juger. Fort de ces découvertes et au service des autres, Guillaume Reffay souhaite mettre en place les meilleurs moyens de partager ce qu’il apprend. Il le fait pour celle qui l’accueille, avec ceux qui l’habitent, les terriens.
Ce, même si la vérité dérange parfois.
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13,5 x 21 cm - 217 pages ISBN novembre 2010
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Jean-Marc Governatori, écrivain, homme d’affaires et homme politique français, le préface comme suit :
« Parti en ce qu'il appelle une « expédition sociale », essayant différents modes de vie, différents statuts, Guillaume Reffay recherche des manières de vivre en cohérence avec les autres êtres vivants, avec la planète dans son ensemble. Pour écrire ce livre, il est allé en Laponie, s'isoler en forêt et ainsi prendre du recul par rapport à l'humain.
Dans la solitude des grands espaces forestiers, dans ce jour qui n’en finit pas l'été, au point qu’on peut décider de la durée de son jour à soi, Guillaume peut alors voir notre Terre et ses habitants différemment.
Leur folle course au rendement économique n’a plus de sens, plus de justification. Seules comptent encore les interactions entre les groupes d’êtres vivants et les éléments. Regarder vivre les animaux est très riche en enseignements. Ils ont gardé leur comportement naturel, ils restent en lien étroit avec leur milieu. Ils n’ont pas perdu le sens des choses authentiques.
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